Les rideaux de fer tombent comme des pages que l'on tourne, les chaines cadenassées musèlent les portes. La ville se barricade et reste close derrière un rempart de lames et de grilles de fer. Le bitume devient chemin de ronde ou rue de révoltes.
Vieilles affiches usées par le temps et calligraphies alternatives s'imposent à notre regard. Dans un dédale de pierres et de béton, chaque façade livre ses messages abstraits suggérant quelques histoire, de l'inquiétude, si ce n'est la colère.
Entre ombre et lumière se dessine alors un récit sans fin. À chaque coin de rue nait une nouvelle intrigue et le suspens est à son comble. Les murs de la ville se lisent alors comme les pages déchirées d'un vieux roman noir.
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